Landmvarks
« Nous sommes issus de l’underground marseillais »

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Accélération exponentielle pour Landmvarks

1 mois après avoir sorti leur nouvel album Fantasy, les marseillais de Landvmarks se préparent à affronter une grosse année en perspective avec une tournée mondiale annoncée. Nous en avons profité pour échanger avec eux sur leurs projets et leur ascensions fulgurante.

 

Un deuxième album en à peine 4 ans. Que représente Fantasy pour vous ?

Fantasy est d’abord un condensé des efforts que nous avons fournis ces 4 dernières années. C’est aussi une expérience de vie en tant que groupe. Une belle histoire.

Comment fonctionne le processus créatif entre vous ?

A peine avoir fini le premier album, nous étions déjà d’attaque pour composer des nouveaux titres. Nous sommes dans un processus créatif constant. Je peux même te dire que le titre Fantasy a été composé juste après la sortie du premier album. En tout cas composer en continu nous permet de produire des titres très différents.

C’est Flo (Florent Salfati, chanteur) qui écrit la majeure partie des chansons. Il vient nous voir avec des idées quasi définitives. Après, on se concerte et chacun apporte sa touche personnelle. Tout se fait très naturellement. Après, s’il compose une merde, t’inquiète, on lui dit aussi hein !

Que raconte Fantasy ?

Nous parlons de nos expériences de vie, des constats que nous faisons au quotidien et des états émotifs qui sont liés. Nous pouvons parler d’amour, comme de tristesse. Par contre, même si nous jouons du hardcore qui par définition est un style de musique engagé politiquement, ce n’est pas notre cas.

Votre ascension est fulgurante. Quel regard portez-vous dessus ?

En fait, on ne s’en rend pas compte. On est dans le jus et on travaille constamment. Du coup, on n’a pas le temps de se poser pour analyser notre carrière. Heureusement que nos fans nous soutiennent et nous disent ce qu’ils pensent. Tout ce que l’on constate, c’est que nos efforts apportent des résultats. C’est génial de voir que pour une action, il y a une réaction. On est fier.

Nous trouvons que vous êtes dans la lignée des groupes de metalcore du type Bring Me The Horizon ou We Came As Romans. Y a-t-il une touche française ? Voire marseillaise ?

Oui, les cigales ! ahah. On a une bonne communauté hardcore à Marseille. Notre petit truc à nous c’est que nous sommes issus de l’underground marseillais. Les grands groupes que tu cites sont des grosses machines et je n’ai pas l’impression qu’ils sont passés par la partie indie. Nous on est très organique, très brute.

Le V c’est à cause de l’autre groupe qui s’appelle Landmark ?

Oui et non. C’est vrai qu’à l’origine, on écrivait notre nom avec un A. on ne voulait pas se prendre la tête avec les droits, et nous voulions aussi que l’on nous retrouve facilement sur Google. Voilà pourquoi on a mis un V. Et puis c’est assez esthétique au final. Mais bon, il faut le faire savoir hein ! On a eu des fans qui ont acheté des tee-shirts sur le store d’un autre Landmark, qui n’existe plus d’ailleurs.

Un mot pour les fans ?

On vous aime fort. On espère que vous allez kiffer notre nouvel album. Merci de nous soutenir depuis le début, car grâce à votre soutien nous continuons à avancer. Et on travaille dur pour vous faire plaisir

 

http://www.landmvrks.com/

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