#afm records

Si The Last Viking, publié en 2020, ne bénéficia pas de la meilleure exposition en raison de la pandémie, il est fort à parier que Myths Of Fate va permettre au combo allemand de revenir en pole position sur la scène metal symphonique après ces années de disette. Continuant à explorer le monde des Vikings à travers les mythes du Moyen Âge, son leader Alexander Krull (Atrocity) nous propose ici ce qu’il sait faire de mieux, à savoir un heavy metal musclé, épique et symphonique dans un écrin fantasmagorique...

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Pas de doute, Leaves’ Eyes a gardé le feu sacré sur cette dixième galette Myths of Fate qui s’inscrit dans la lignée de The Last Viking (2020), entrecoupée par Viking Spirit (bande originale) en 2021. Comme à l’accoutumée, Alexander Krull...

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Dès le premier morceau « Tales from the North », le ton est donné. Les textes de Bloodbound décrivent un monde sanglant, barbare, glorieux, influencé par la mythologie nordique. Le tout est bercé par un folk power metal de grande qualité, très mélodique, rapide et efficace, fortement inspiré par des formations cultes comme Helloween ou Edguy. Nos Suédois enchainent alors des hymnes puissants (« Sail Among the Dead », « Land of Heroes » ou encore « Sword and Axe ») avec cette aisance pour nous offrir des refrains mémorisables instantanément (« Odin’s Prayer »)...

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Bloodbound a déjà derrière lui un long parcours semé de hauts et de bas, la horde suédoise ayant débuté en 2005 sous l’égide de Fredrik Bergh (claviers) et Tomas Olsson (guitares). Elle Délivre un power metal mélodique de grande classe dans l’esprit d’un Sabaton ou Powerwolf, mais dans une veine d’inspiration nordique. Deux ans après Creatures Of The Dark Realm, les voilà de retour avec Tales From The North qui nous entraine de nouveau au cœur du monde épique des vikings. [Entretien avec Patrik J. Selleby, chant.

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Si Rhapsody a longtemps dominé le monde du metal symphonique italien, Elvenking s'avère être son digne successeur au vu de la qualité de son impressionnante trilogie dont la première partie, Reader of the Runes – Divination, est parue en 2019. Imposant un folk power metal de haute volée développé au fil des ans, la formation transalpine...

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Déjà auteure d’une longue chevauchée en terre du metal depuis 1997, la formation transalpine arrive peut-être ici à son apogée avec cette trilogie Reader of the Runes entamée en 2019. Ouvrant le bal, la chanson « Rapture » ayant donné le nom à ce second volet...

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Si Saint Deamon s’est formé en 2008 et n’a seulement que quatre albums à son actif, c'est parce qu'il s'est permis un break de 10 ans après Pandeamonium, son deuxième méfait, en raison d’une instabilité des musiciens de l’époque. Après toutes ces péripéties, Saint Deamon est resté totalement hors des radars en France malgré une signature chez AFM Records. Après un Ghost réussi qui leur a permis de revenir, les revoilà l’excellent League Of The Serpent , un joyau qui va leur permettre de s’imposer dans un style où une pléthore de combos évoluent déjà ! La lutte est rude, que le meilleur gagne !

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La chanteuse cite Halestorm comme référence principale sans pour autant vouloir devenir une copie ; plusieurs autres formations, et non des moindres, continuent également à influencer son parcours. L’objectif est atteint ici.

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Après un album très remarqué, Gods Of Tomorrow, au côté de son autre groupe Victory en 2021, et une escapade solo Two For A Lie parue la même année, l’ancien gratteux d’Accept, Hermann Frank, est de retour avec un nouveau projet : Iron Allies.

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Au départ, Avatarium était le bébé de Leif Edling, mastermind de Candlemass (les pontes du doom metal lyrique qui sortent aussi d’ailleurs le mois prochain leur tout nouvel opus Sweet Evil Sun (Napalm Rec.)

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