#Laura Guldemond

Faisons fi ici des aspects marketing et esthétique, et avouons que ce troisième sortilège de nos sorcières helvètes bien-aimées envoie du lourd. Dance Of The Devil surpasse en tout point son prédécesseur Hexenhammer : compositions en béton et variées, riffs endiablés, et une solide section rythmique (l’entêtant « Necronomicon »). Mais le nouvel atout réside dans la chanteuse Laura...

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