Overkill fait partie des vétérans de la scène des années 80, au même titre que ses grands frère Metallica, Megadeth, Slayer (qui a splitté en 2019 mais dont son guitariste Kerry King nous prépare un nouvel enregistrement studio en solo avec le batteur Paul Bostaph a priori) et Anthrax du Big Four of Thrash, à la petite différence près qu'ils sont apparus sur la côte est américaine comme Anthrax, et non du côté en Californie.
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Et si l’heure de la retraite était réellement venue pour nos Four Horsemen, à l’instar de leurs collègues Slayer du Big Four of Thrash qui ont splitté en 2019 au moment où la redite commençait clairement à se ressentir depuis déjà quelques temps, que ce soit sur scène comme sur album ? Visiblement non, loin d’eux l’idée de raccrocher à bientôt 60 ans pour ses deux cofondateurs, Lars Ulrich & James Hetfield. Après tout, vu le contexte actuel, vous en reprendriez bien encore pour deux ans de plus avant la quille, non ?
S’ouvrant sur une intro grandiloquente digne d’un film hollywoodien, vite secouée par un air rappelant Epica et les growls de Mark Jansen, c’est pourtant un autre groupe néerlandais auquel nous avons à faire, baptisé Haliphron, qui ouvre cette chasse noire sur fond de symphonie black/death metal. Si les growls et screams de Marloes Voskuil (ex-Izegrim) impressionnent d’emblée (elle a beaucoup travaillé son spectre vocal durant la pandémie depuis l’arrêt de son ancienne formation.)
monde est plein de paradoxes : il n’y a jamais eu autant de richesses produites sur notre planète, et l’écart entre les pauvres et les riches ne s’est jamais autant creusé, problème de répartition des richesses oblige (certes, nous sommes plus nombreux sur Terre.) ; il y a de nombreuses offres d’emploi non pourvues chaque jour, et en face des demandeurs d’emploi qui ne trouvent pas d’offres… Et la liste est longue… Tenez maintenant, prenez le cas qui nous intéresse à présent : Cultura Tres et leur nouvelle bombe Camino de Brujos.
Dropdead Chaos nous plonge avec eux dans l’album dès le premier morceau, tout en douceur, avec ce chant a capella, nous faisant planer dès le départ, mais donnant le ton pour la suite. Les titres vont ainsi s’enchainer. L’intensité et le rythme s’accélèrent au fur et à mesure, procurant une envie de vite découvrir la suite
« Être un Kingsman, c’est être quelqu’un qui a le courage d’endurer le pire, mais qui continue de refléter les meilleurs aspects de l’humanité. Donc, avec toutes nos chansons, c’est ce que nous essayons de montrer. » C’est en ces termes que Tanner Guimond, chanteur de Kingsmen, a introduit ce nouvel album, Bones Don’t Lie. Après un premier opus (Revenge. Forgiveness. Recovery) qui semble avoir fait l’unanimité, le groupe de Providence (Rhode Island) aura-t'il le courage d’endurer les critiques intraitables quant à celui-ci ?
SORTILÈGE Apocalypso Heavy metal Verycords/Warner Music Depuis la scission en mai 2019 entre Christian « Zouille » Augustin et ses anciens comparses, de l’eau a coulé sous les ponts du hard rock français. Le Sortilège 2.0 s’est imposé sur le devant de la scène européenne grâce au succès de Phoenix sur lequel la…
ici on parle bien de Raüm et de son premier opus, Cursed By The Crown. Apparu sur la scène il y a seulement trois ans, Räum propose quatre longues plages qui constituent bel et bien ce LP, et non un EP, l’ensemble avoisinant tout de même les trente-sept minutes. Mais qu’importe le flacon pourvu que l’on ait l’ivresse, et on l’a.
On aura toujours tendance à dire que : « c’était mieux avant », que ce soit dans le domaine social pour la question de nos futures (et hypothétiques ?) retraites, ou bien musical à propos des nouveaux albums de Metallica, In Flames, ou Immortal. Eh bien, il en va de même aussi pour Rotten Sound et son grindcore frontal et apocalyptique (beau pléonasme). Leurs albums Murderworks ou Exit (voire Cycles) restent des références sûres. Il faut néanmoins avouer que ce combo finnois en impose à chacune de ses nouvelles sorties (LP ou EP), et ce, malgré les années
Récemment signée chez Nuclear Blast, la formation allemande originaire de Sankt Wendel (située près des villes de Kaiserslautern et Mannheim), et emmenée par le joli minois de Jennifer Haben (ex-Saphir) dévoile un cinquième album cochant toutes les cases du genre symphonique, enfin presque. Il est vrai qu’il est loin d’être évident d’exister à côté de mastodontes aussi respectables que Within Temptation, Evanescence, Amaranthe ou bien encore Lacuna Coil…
Le brillant multi-instrumentiste Guillaume Galaup change de cap avec ce projet, ô combien cathartique, Limbes. Son premier rejeton, Ecluse, compte quatre morceaux-fleuves, pas un de plus.
Souvent décrit comme étant un parfait mélange entre Biffy Clyro, A Perfect Circle, Queens of the Stone Age et Muse, avec des sonorités old-school typées 1990’s, The New Death Cult récidive aujourd’hui avec son second effort longue durée : Super Natural. Il va sans dire que si les groupes précités venaient à disparaître, la relève serait assurée par ces Norvégiens !
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