Album

Rising Steel voulait sortir un album qui ne soit pas trop éloigné en temps du précédent et qui frappe un coup ! Ojectif pleinement atteint ici ! Bienvenue dans un univers où les guitares puissantes prennent d’emblée le pouvoir, fleurant bon les eighties et les nineties avec des passages qui évoquent tout autant Accept, Saxon, Testament et autres bons crus de légende !

Lire

Le nouvel espoir du metalcore moderne américain se confirme. Bad Omens nous livre un prodigieux troisième album qui va au-delà des espérances d’un public et de la critique, déjà largement conquise par la formation menée par Noah Sebastian. S’affranchissant de toute pression et attente pour composer The Death Of Peace Of Mind, le groupe de Virginie a relevé le pari de se challenger en expérimentant et créant comme il ne l’a jamais fait auparavant.

Lire

Ce treizième opus de Candlemass force l’admiration et le respect. Avoir une telle longévité (quarante ans !) et qualité discographique, nous on dit : « respect ».

Lire

Alors qu’Opeth tend toujours à puiser un peu plus vers les influences seventies si chères à Mickael Akerfeldt, Disillusion, lui, continue d’évoluer dans un metal progressif contemporain, plus moderne, son leader Andy Schmidt n’hésitant à pas expérimenter et fusionner divers éléments, quitte à sonner trop avant-gardiste parfois

Lire

Depuis sa reformation en 2013, Xentrix s’est remis lentement à la tâche, tout d’abord avec Bury The Pain (2019) que nous avions apprécié, loin de révolutionné le genre cependant, et à présent Seven Words, leur sixième brûlot. Si le quatuor anglais de Preston (Lancashire) connut son petit quart d’heure de gloire sur le label Roadracer (futur Roadrunner Records)

Lire

Parmi les formations metal suédoises de retour sur le front et ayant brillé durant la décennie 90 sur la scène death, thrash, ou black, c’est au tour du trio d’Uppsala Defleshed. Si vous avez raté un épisode ou étiez tout simplement aux abonnés absents, voire pas encore de ce monde, (ré)écoutez leurs plus célèbres enregistrements Ma Belle Scalpelle

Lire

Il n’aura guère fallu longtemps à Warkings pour donner un successeur à Revolution paru en 2021. A croire que nos quatre valeureux guerriers européens ne prennent jamais de repos. Les voilà donc repartis les routes avec Morgana le Fay, principal thème de leur quatrième opus, telle une nouvelle croisade pour nos chevaliers de la table ronde ici.

Lire

Quel plaisir de retrouver l’esprit et l’énergie intacte de Sodom ! On se rend aussi compte, si ce n’était pas déjà fait, à quel point Tom Angelripper & Sodom ont influencé dans les années 80 la scène thrash et black à venir avec leur rétro speed/black pas si primaire que ça.

Lire

Dans le premier album, les huit sages trouvent la personne qui sera le Catalyseur de leur force et le proclament Catalyseur et neuvième entité parmi eux, avec pour objectif de remplacer le Créateur. Dans ce deuxième album, l’accent est mis sur la bataille entre le Catalyseur et le Créateur, que l’on voit d’ailleurs sur l’artwork, dont l’issue de la bataille a pour dessein de rendre à cet univers sa splendeur perdue ». C’est carrément digne d’un scénario des Marvel Studios mais en mieux

Lire

Difficile de prendre ce treizième opus (!!) de Clutch a défaut mais pour autant il lui manque ce petit plus pour être à la hauteur de tous ses prédécesseurs. Cela peut constituer un atout, tout comme un défaut. La production trop sage de Tom Dalgety dessert l’album qui, du coup, perd son côté abrasif.

Lire

Mais qu’est-ce qui explique tout ce bruit autour de Polyphia ? Pour rappel, derrière ce nom se cache un groupe instrumental américain fondé à Plano (Texas) en 2010 autour du guitar hero Tim Henson. Ce buzz ne date pas d’hier : les premiers succès de Polyphia remontent à 2013 avec l’album Muse. C’est vraiment la chanson « G.O.A.T » à succès (33 millions de vues) qui les a hissés au titre de phénomène sur la toile.

Lire

En peinture comme un musique, les génies, ceux qui se positionnent à l’avant-garde dans leur domaine, sont souvent boudés et incompris de leur vivant. Certes Tom G. Warrior est toujours de ce monde et vit probablement ses meilleures années en termes de notoriété avec Triptykon, mais cette reconnaissance n’était clairement pas de mise dans les années 80.

Lire

Publicité